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QUITTER 
Gaston était un solide gaillard de plus d’1m90 avec une queue à en faire pâlir un cheval. Dans cette histoire de sexe, je vais vous conter de quelle manière je me suis faite démolir par un mastodonte.
Je prenais beaucoup de plaisir à lécher son sexe énorme et à promener ma langue autour de son gland. Je me montrais de plus en plus audacieuse et prenais l’initiative de lui faire une gorge profonde au risque de m’étouffer. J’allais et venais le long de son gourdin puis mes lèvres se posèrent sur son sac à couilles afin de les gober. Je ne voulais pas le faire jouir de suite, je le suçais avec une telle avidité que ses gémissements prouvaient qu’il n’en aurait plus pour longtemps. J’arrêtais un instant afin de laisser Gaston reprendre son souffle puis je plongeais sa grosse et magnifique queue dans ma fente chaude et trempée de ma cyprine qui s’écoulait aussi le long de mes cuisses. Sa queue s’enfonçait lentement mais surement dans mon minou en émoi. J’étais toute émoustillée par la puissance de ses coups de hanches qui me détruisaient délicieusement la foufoune. Gaston avait le sens du rythme et la puissance qu’il manifestait me donnait l’impression d’être une poupée de chiffon entre les mains de ce mec à la carrure de lutteur.
Les mouvements de mon amant occasionnel se firent plus pressants, sans crier gare il accéléra la cadence et je dû rapidement m’adapter sous peine de chavirer car le plaisir ainsi qu’une délicieuse douleur étaient au rendez-vous. Il décida de me déboiter la chatte ne me prenant en levrette, il me tira les cheveux d’un geste contrôlé ce qui me donna l’impression d’être sa monture. Il m’abreuvait de toutes sortes de jurons et je dois dire que l’impression du moment était que je me sentais vraiment salope, désolée pour les féministes mais j’adorais vraiment ça ! Il m’allongea sur le dos, colla son sexe au mien et vint à nouveau s’investir dans mon antre des délices. Mon corps ne semblait n’avoir aucun secret pour ce mec, il me baisait comme si c’était pour lui une expérience quotidienne. La jouissance était tellement forte que j’en étais complètement tétanisée, ce mec venait de me détruire et j’en éprouvais beaucoup de plaisir.
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